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Björk : Drawing Restraint 9 - 25 Juil. 2005 - One Little Indian

Drawing Restraint 9
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Note du chroniqueur :
une étoileune étoileune demi-étoile (légende)

Tracklist :

1. Gratitude

2. Pearl

3. Ambergris march

4. Bath

5. Hunter Vessel

6. Shimenawa

7. Vessel Shimenawa

8. Storm

9. Holographic entrypoint

10. Cetacea

11. Antarctic return

Notes de la rédaction :
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L'avis de la rédaction :

Tout le monde a entendu parler de Matthew Barney, surtout depuis qu'il est le mari de Björk. Malheureusement (ou heureusement, ça dépend pour qui...) peu d'entre nous on pû voir de près son travail d'artiste, symbolique et tourmenté. Ses longues oeuvres filmées, interminables et grandiloquentes, particulièrement visuelles, restent très obscures au commun des mortels que nous sommes...

Logiquement, c'est donc son inaccessible femme qui a composé l'ôde originale de sa dernière création, qui prend racine dans le Japon traditionnel des geishas et des chasseurs de baleines. On a tenté de me faire comprendre de quoi il s'agissait exactement. En vain ! Je ne saurais donc vous expliquer quels sont les ressorts de ces tribulations visuelles symboliques où Björk elle-même tient le premier rôle...

Beaucoup plus abstraites que dans la B.O. de "Dancer in the dark", les compositions de "Drawing restraint 9" vous laissent dans les oreilles une étrange impression: à part le morceau d'ouverture (où l'on peut entendre le chant mélancolique de Will Oldham alias Bonnie Prince Billy) et l'incroyable "Storm" (c'est avec plaisir que l'on retrouve les turpitudes électros bouillonnantes et immédiatement identifiables de Leila), l'album semble perdu entre deux sons de cloches ("Pearl", "Cetacea"), quelques cuivres grondants ("Hunter vessel" et "Vessel shimenawa") et un chant irritant façon théatre Nô (l'insupportable "Holographic entrypoint").

La violence et le raffinement se mélangent dans ce disque difficile et extrême qui, à défaut de plaire vraiment, a le don de surprendre (on est quand même chez Björk!).

Guillaume

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