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Hooverphonic : The night before - 07 Déc. 2010 - Sony Music

The night before
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Note du chroniqueur :
une étoileune étoileune demi-étoile (légende)

Tracklist :

1. Anger never dies

2. The night before

3. Heartbroken

4. Norwegian stars

5. More

6. One two three

7. George's café

8. Identical twins

9. Encoded love

10. How can you sleep

11. Sunday afternoon

12. Danger zone

Notes de la rédaction :
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L'avis de la rédaction :

Me voilà bien embêté... Chroniquer le dernier album de Hooverphonic ? Moui, pourquoi pas après tout, c'est quand même un groupe important dans le mouvement trip hop des 90's. Le problème est qu'avec ce genre de formation, j'ai tendance à attendre énormément à chaque nouvel opus, au risque d'être déçu. Verdict ?

Me voila bien embêté donc, puisque je suis drôlement partagé sur ce disque. Non pas qu'il soit mauvais, au sens premier du terme, mais à l'instar des dernières productions de Morcheeba ou Tricky, je n'y retrouve aucunement l'originalité qui m'avait séduite à l'époque de The magnificient tree. AAAH, on se rappelle tous de "Mad about you", n'est il pas ?...
Ici, on a une jolie compilation de singles enchainés les uns aux autres. Certaines de ces compositions sont pourtant très agréables (Anger never dies, Norwegian star), pour peu qu'on ne soit pas très regardant du passé du groupe. On sent aussi clairement que la machine "pop" est passée par là. De jolies mélodies, des arpèges de guitare au son si particulier, et des violons mes amis, des violons... Peut-être même un peu trop, je frôle l'indigestion.
Mon inquiétude quand au changement de chanteuse, s'est évaporé cependant. Noémie Wolfs, s'approprie impeccablement bien l'univers du combo belge. Ouf, c'est déjà ça !
Mais cela suffit-il ?...

Traitez moi de réac', mais "c'était mieux avant", na ! Je trouve tout de même que le final "Danger zone" est le meilleur morceau de l'album, pourtant construit avec les mêmes éléments que les onze chansons précédentes. Mystère...

Un album qui mérite une écoute, et qui plaira surement aux néophytes de Hooverphonic, ainsi qu'aux amateurs de pop/rock sophistiqué. Ceux, qui comme moi, sont restés bloqué en l'an 2000, passeront relativement vite leur chemin.

Djeh

Les derniers avis :

Eurovision

Quoi de pire que le énième album ? Oui, après 3, on ne compte plus. C'est souvent le bon moment pour disparaitre ou, ce qui revient au même, commettre l'album de trop. Pas facile.
A l'instar de Morcheeba, un temps collègue de mouvance nos amis d'outre-Quiévrain se sont offert un challenge: remplacer la blonde à craquer qui avait participé (ainsi qu'une pub pour autoroute), à leur renommée, par une petite nouvelle, casté en radio crochet.
Dernier d'une discographie cheminant sur la route qui mène du Trip-Hop à l'Easy-Listening ce 7ème album s'installe dans la pop à corde et à voix qui nous rappelle notre amour enfantin pour Petula clark. Classe, bien fait et plein d'émotions. Le single éponyme, avec un refrain qui colle au cerveau, pourrait, si les dieux du marketing le souhaitaient "scorer" sur la FM grand public.
La Belgique peut gagner l'Eurovision.
HTDCD

01-03-2011 - Phoniques

Nouvelle Aspiration ;-)

Pléthore d'aficionados comme moi faisaient de ce petit groupe belge une institution, malgré quelques restructurations du groupe (dans ses membres mais aussi dans le nom, qui était "Hoover" à l'origine, et pour leur tout premier album avec la chanteuse Liesje Sadonius).
Mais, contrairement aux précédentes modifications, à l'instar de Massive Attack ou Archive, Hooverphonic avait réussi le tour de force d'évoluer sans changement radical.

L'album "The Night Before" ?
On démarre en pays connu avec les premières notes d'introduction de "Anger Never Dies", puis c'est le choc : la voix de Noémie Wolfs est belle mais trop de vibratos nous déstabilisent (on s'était habitué à la voix limpide de Geike Arnaert depuis plusieurs années). Alors on commence à songer à d'autres groupes comme Airlock. Puis, sur "The Night Before", on dérive vers le style d'origine des Cranberries. S'enchaîne le troisième titre ("Heartbroken") ; il commence sur le gimmick de "James bond Theme" de John Barry et continue sur sa lancée, parsemé de pointes de élodies des James Bond récents (de David Arnorld) au violon. Les références sont finies ? Non. Sur les titres suivants ("Norwegina Stars" et "More"), Noémie pose sa voix à la manière de Vanessa Carlton sur des mélodies oscillant entre Vanessa Carlton et les Hooverphonic que l'on connait. Alors, resurgit le style "Jackie Cane" qui nous manquait, et pour quatre titres ("One Two Three", George's Cafe", "Encoded Love" et "Sunday Afternon") entrecoupés par un "Identical Twin" (mélangeant les Cranberries et les All Saints) et un "How Can You Sleep" (qui
n'est pas sans rappeler les derniers albums d'Archive alternant voix féminines et masculines. Enfin, l'album termine comme un appel à l'auditeur sur "Danger Zone". Ce dernier titre apporte une touche fragile, mystérieuse, et pleine de doute grâce à une forte référence à Emiliana Torrini ; peut-être pour nous dire "Alors ? L'album vous a plu, finalement ?".
En bref, la première écoute est surprenante, déroutante, voire même parfois décevante. on peut crier au plagiat. Mais une deuxième, puis une troisième permettent de rentrer dans ce nouvel univers qu'ont voulu créer Alex Callier (bassiste et programmeur) et Raymond Geerts (guitariste). On y retrouve la base musicale d'Hooverphonic mais il manque l'essence portée par Geike. Leur nom leur colle par contre beaucoup plus à la peau : à la façon d'un aspirateur ("Hoover" en anglais), ils récupèrent différents styles musicaux, et les mélange à leur manière. Tiens, ça me rappelle Archive... Espérons que le binôme belge trouvera sa nouvelle voie, et sera assez intelligent et créatif pour nous attirer dans leur sillon, et, peut-être, retrouver Geike, mais aussi Liesje auprès de Noémie lors des prochains concerts et album. Courage, les gars, nous vous suivons !!

18-01-2011 - Markehre

Rassuré

Quand j'ai appris le départ de Geike, j'ai eu un peu peur, surtout à l'annonce d'un casting ou les hommes pouvaient participer, pour ma part je ne voyais pas une voix d'homme s'associer à leur musique. Puis lorsque j'ai entendu les premières notes de The night before j'ai été de suite rassuré par la douce voix de Noémie.
Concernant l'album, il est vrai qu'un côté pop est plus dominant que sur leurs anciennes production mais je reste ravi par cette album, les chansons sont vraiment agréable, la voix de Noémie s'associe très bien avec leur univers, j'attends avec impatience de pouvoir la découvrir sur scène.
En tout cas pour moi ce sera un 10/10 pour cet album, tout en souhaitant un retour à un album plus planant dans la veine de A new stereophonic sound spectacular la prochaine fois ^^.

21-12-2010 - Effleurescence

Avis exageré

Il ne faut pas être aussi méprisant TanTylash. Il est vrai que le départ de Geike Arnaert nous a tous mis "sur le cul" ; c'était l'image même du groupe depuis son commencement (en 1998). Mais il faut reconnaître que Geike Arnaert n'était pas la toute première chanteuse du groupe. Le groupe commence à faire ses preuves en 1996 avec l'album mytique "A new stereophonic sound spectacular" avec la chanteuse Liesje Sadonius. Je respecte le fait que tu n'aimes pas l'album mais le groupe a néanmoins rien perdu en qualité technique. La pop a simplement pris le dessus "trip-hop. Personnellement je trouve que l'album est pas mal seulement, le groupe doit touver ces marques avec ces bouleversements derniers. Noemie Wolfs a besoin d'une chance dans ce terrain déjà fondé, il faut simplement que le groupe évolue avec ces nouveaux paramètres.

18-12-2010 -

Prémaché

Hooverphonic troque la console pour un micro-onde et nous ressert le plat de l'avant-veille.
On a du mal à atteindre le bout des 2 premières pistes de ce 'The night before' tellement ça sent le réchauffé. Alors on essaie de se détendre, on se dit qu'éventuellement 'Heartbroken' aura pu faire un tube, il y a 25 ans, et on aime presque l'intro un peu dark de 'Norwegian Stars, ouais l'intro.., mais cette espèce de micro-étincelle s'éteint vite, et on se rappelle alors qu'on le savait, que même si le groupe avait touché 2-3 mesures sur 2-3 titres sympas (2 Wicky, Sarangi, Wardrope..), ça collait quand même toujours un peu aux dents.
La c'est tout l'album qui bave, on dirait la b.o d'un conte de fée pour gamine de 8 ans, à écouter en robe rose avec des couettes.. poubelle.

14-12-2010 - TanTylash

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